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5 bonnes raisons de ne pas alimenter les microstocks

Parue le : 12/05/11
Rubrique : infos

5 bonnes raisons de ne pas alimenter les microstocks

Mettre un pied dans un microstock, c'est comme marcher dans la merde !Le microstock est parfois encensé comme la solution « miracle » pour vendre ses photos lorsqu’on est amateur, et parfois même comme supplément pour le professionnel. S’il existe effectivement quelques photographes qui dans le lot arrivent à en retirer de substantiels revenus (on parle de plusieurs milliers d’euros par mois), il faut garder à l’esprit que cela ne concerne qu’une infime minorité de personnes, qui auront passé des centaines d’heures de TRAVAIL pour alimenter leur bibliothèque !

Voici 5 bonnes raisons de ne pas tomber dans le piège du microstock :
1. Vous allez toucher des clopinettes !

Eh oui : quand on « débute » sur un microstock, on est débutant, on vend donc au ras des pâquerettes ! La plupart de ces banques d’images fonctionnent « au mérite » (dit-on), autrement dit, même si vous sortez les plus belles images du monde, vous ne toucherez que le minimum au moins le temps des premières ventes : à partir de 0.38€ par vente chez Fotolia (par exemple), et avec une moyenne autour de quelques euros (et je suis gentil).

À titre de comparaison, le prix de vente moyen dans une agence traditionnelle est d’environ 80 € aujourd’hui, et pour ma part j’ai déjà cédé des droits à 1500 € / photo :D (faites le calcul : ça en fait des ventes en microstock !!!)
2. Vous allez être noyé dans la masse !

Faisons un rapide calcul avec Fotolia (c’est pareil avec les autres microstocks, sinon pire) : il y a aujourd’hui probablement plus d’un million de contributeurs (on était à plus de 900 000 début 2010) ; une simple division du nombre de photos vendues mensuellement et ça nous donne un chiffre moyen de… 38 photos vendues par an, par contributeur ! En d’autres termes : la promesse d’un grand nombre de ventes pour rattraper les prix ridicules est une belle illusion !
3. Une photo est toujours vendue une seule fois par client !

Eh oui : contrairement à une photo vendue en « droit géré », une photo cédée via un microstock peut être utilisée ad vitam eternam par l’acquéreur ! Et si l’acheteur est un groupe de presse (ou une agence de communication), votre photo ira enrichir son fond photographique et sera utilisée librement ensuite dans toutes ses publications…

En droit géré (comme le Code de la Propriété Intellectuelle l’oblige en principe), l’auteur d’une photo est rémunéré pour chaque utilisation, pas simplement pour avoir « mis à disposition un fichier » !
4. Vous n’avez strictement aucun contrôle sur le devenir de vos images !

Vos photos peuvent être utilisées pour tout et n’importe quoi, et pire encore : vous n’en avez aucune visibilité, puisqu’il est impossible de savoir qui achète l’image, ni pour quelle utilisation.

Quelle « joie » pour vos proches qui vous ont servi de mannequin, de se retrouver sur des campagnes de publicité pour des petites pilules bleues ou pour la promotion de médicaments contre les fuites urinaires ! Et pour les photographes de nature : quel bonheur de voir vos photos de sanglier ou de chevreuil utilisées pour des pubs dans des magazines de chasse, avec un viseur sur la tête !
5. Vos photos vendues en microstock sont perdues à jamais !

Comme vous n’avez aucun contrôle sur le devenir de vos images diffusées en microstock, il vous est impossible de récupérer (si un jour vous vous décidez à changer d’avis) vos photos pour repasser vers un mode de diffusion plus traditionnel.

Pire : comme vous n’avez aucune visibilité sur ce pour quoi elles ont été utilisées, il vous sera impossible de les revendre en direct ensuite sans prendre de gros risques vis-à-vis de vos clients !
Liens intéressants [ 1 ]

» Le site d'AUBE NATURE

5 bonnes raisons de ne pas alimenter les microstocks

Parue le : 12/05/11
Rubrique : infos

5 bonnes raisons de ne pas alimenter les microstocks

Mettre un pied dans un microstock, c'est comme marcher dans la merde !Le microstock est parfois encensé comme la solution « miracle » pour vendre ses photos lorsqu’on est amateur, et parfois même comme supplément pour le professionnel. S’il existe effectivement quelques photographes qui dans le lot arrivent à en retirer de substantiels revenus (on parle de plusieurs milliers d’euros par mois), il faut garder à l’esprit que cela ne concerne qu’une infime minorité de personnes, qui auront passé des centaines d’heures de TRAVAIL pour alimenter leur bibliothèque !

Voici 5 bonnes raisons de ne pas tomber dans le piège du microstock :
1. Vous allez toucher des clopinettes !

Eh oui : quand on « débute » sur un microstock, on est débutant, on vend donc au ras des pâquerettes ! La plupart de ces banques d’images fonctionnent « au mérite » (dit-on), autrement dit, même si vous sortez les plus belles images du monde, vous ne toucherez que le minimum au moins le temps des premières ventes : à partir de 0.38€ par vente chez Fotolia (par exemple), et avec une moyenne autour de quelques euros (et je suis gentil).

À titre de comparaison, le prix de vente moyen dans une agence traditionnelle est d’environ 80 € aujourd’hui, et pour ma part j’ai déjà cédé des droits à 1500 € / photo :D (faites le calcul : ça en fait des ventes en microstock !!!)
2. Vous allez être noyé dans la masse !

Faisons un rapide calcul avec Fotolia (c’est pareil avec les autres microstocks, sinon pire) : il y a aujourd’hui probablement plus d’un million de contributeurs (on était à plus de 900 000 début 2010) ; une simple division du nombre de photos vendues mensuellement et ça nous donne un chiffre moyen de… 38 photos vendues par an, par contributeur ! En d’autres termes : la promesse d’un grand nombre de ventes pour rattraper les prix ridicules est une belle illusion !
3. Une photo est toujours vendue une seule fois par client !

Eh oui : contrairement à une photo vendue en « droit géré », une photo cédée via un microstock peut être utilisée ad vitam eternam par l’acquéreur ! Et si l’acheteur est un groupe de presse (ou une agence de communication), votre photo ira enrichir son fond photographique et sera utilisée librement ensuite dans toutes ses publications…

En droit géré (comme le Code de la Propriété Intellectuelle l’oblige en principe), l’auteur d’une photo est rémunéré pour chaque utilisation, pas simplement pour avoir « mis à disposition un fichier » !
4. Vous n’avez strictement aucun contrôle sur le devenir de vos images !

Vos photos peuvent être utilisées pour tout et n’importe quoi, et pire encore : vous n’en avez aucune visibilité, puisqu’il est impossible de savoir qui achète l’image, ni pour quelle utilisation.

Quelle « joie » pour vos proches qui vous ont servi de mannequin, de se retrouver sur des campagnes de publicité pour des petites pilules bleues ou pour la promotion de médicaments contre les fuites urinaires ! Et pour les photographes de nature : quel bonheur de voir vos photos de sanglier ou de chevreuil utilisées pour des pubs dans des magazines de chasse, avec un viseur sur la tête !
5. Vos photos vendues en microstock sont perdues à jamais !

Comme vous n’avez aucun contrôle sur le devenir de vos images diffusées en microstock, il vous est impossible de récupérer (si un jour vous vous décidez à changer d’avis) vos photos pour repasser vers un mode de diffusion plus traditionnel.

Pire : comme vous n’avez aucune visibilité sur ce pour quoi elles ont été utilisées, il vous sera impossible de les revendre en direct ensuite sans prendre de gros risques vis-à-vis de vos clients !
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